(1841) Le minéralogiste français François Sulpice BeudantLe modèle nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire. décrivit initialement la crocoïse en 1832[1] (bien que l’échantillon original ait été découvert en 1765), pour sa couleur semblable à celle des étamines de Crocus sativa (du grec ancien κρόκοεις, krokoeis, « jauneaurore, safran »). Le nom crocoïse fut harmonisé en crocoïsite en 1838 par Franz Ritter von KobellLe modèle nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire.[2] puis en crocoïte par Johann August Friedrich BreithauptLe modèle nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire.[3]. Il y a un hapax de crocoïte en 1830[4], possiblement une coquille.
Une seule constitue une exception intéressante, celle du Filon du Cantonnier, en raison de la présence de crocoïte et, accessoirement, de l’abondance d'une pyromorphite de faciès particulier.— (Bulletin de la Société française de minéralogie et de cristallographie, volume 90, 1967)
[1] : François Sulpice BeudantLe modèle nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire., Traité élémentaire de minéralogie, tome 2, Verdière, Libraire-Éditeur, Paris, 1832, 2e édition, page 669
[2] : Grenville Arthur James Cole, Outlines of Mineralogy for Geological Students, 1913
[3] : Igor V. Pekov, Minerals First Discovered on the Territory of the Former Soviet Union, 1998
[4] : Abbé Étienne Borson, Catalogue raisonné de la collection minéralogique du musée d’histoire naturelle, Imprimerie royale, Turin, 1830, p. 191