aquifère

Français

(XIX^e siècle) Du latin aqua (« eau ») et fero (« porter, apporter »).

aquifère \a.kɥi.fɛʁ\

Modèle:géologie Qui porte ou qui contient de l’eau en partie mobilisable par gravité.
- Terrain aquifère.
- Nappe aquifère, couche souterraine formée par les eaux d'infiltration.
Modèle:botanique Qui apporte de l’eau ou de la sève.
- Cellule aquifère, cellule alongée, à parois minces, capables de s'emplir d'eau et de la perdre par dessication.
Modèle:zoologie Branchial, relatif au brassage d’eau vers les organes de la respiration des organismes aquatiques.
- Respiration aquifère.

Singulier	Pluriel
aquifère	aquifères
\a.kɥi.fɛʁ\

aquifère \a.kɥi.fɛʁ\ masculin

Modèle:géologie Couche ou massif solide, perméable, poreux, comportant une zone saturée en eau, suffisamment conducteur d'eau souterraine pour permettre l'écoulement significatif d'une nappe souterraine et le captage de quantités d'eau appréciables.
- Or, les aquifères, ces vastes réservoirs naturels de stockage d’eau souterraine, sont une ressource clé. Elles abritent la majeure partie de l’eau douce liquide de la planète. Actuellement, 43 % de l’irrigation provient de ces réserves. — (Audrey Garric, Notre consommation alimentaire épuise les eaux souterraines, Le Monde le 29 mars 2017)

« aquifère », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
« aquifère », FranceTerme, Délégation générale à la langue française et aux langues de France.
Webworld.Unesco