Scène de comos (partouze antique) : comastes et hétaïres dans des positions explicites et acrobatiques, deux cratères au sol. Amphore à col attique à figures noires, vers 560 avant J.-C. Provenance : Vulci.
Cet homme, c’est le grand, l’unique Pelletier, ancien tenancier de maisons closes, ancien organisateur de partouzes, ancien marchand de viande...— (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 75-76)
Le magazine Sandwich, au-dessous, fleuron branché de la rédaction soixante-huitarde au salaire unique, fourgonnait des rubriques queutardes : partouzes, échangistes, taulards, fétichistes.— (Bruno Bayon, Mezzanine, Grasset, 2009, chap.3)
Le moins indécis des êtres, c'est quand même le partouzard. Il ouvre la porte du club privé, il se déloque, il vient avec une idée bien précise en tête : c'est jamais indécis un partouzard ! C'est même très décidé un partouzard. Quand on va à une partouze, c'est qu'on sait ce qu'on veut !— (Fabrice Luchini, Comédie française: Ça a débuté comme ça..., éditions Flammarion Québec, 2016, chap. 4)
Il rêvait de ce monde « vrai » et ne voyait qu'une gigantesque « partouze », partouze morale, partouze des idées, partouze des âmes. Et cette partouze n'était que stérile.— (Jean Bothorel, Bernanos, le mal-pensant, Grasset, 1998)