Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier le wikicode »).
« Les passines, devinettes à double sens, s'apprenaient à coups de bâtons sur le dos courbé et sur les doigts, et les kassacks, les chants exerce-mémoire dont les mots et les paroles qui nous sont venus des nuits obscures, entraient dans nos têtes avec la chaleur des braises qui brûlaient les paumes de la main— (Birago Diop, Contes d'Amadou Koumba, Présence Africaine, 1961, p. 171.)