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Une propriété non moins précieuse, c'est la faculté qu'elles ont de se conserver long-temps sans se corrompre, lors même qu'elles sont exposées à toute l'action du soleil dans des mares servant d'abreuvoirs, appelées pouzeraques, où elles sont continuellement trépignées et salies par le bétail.— (M. de Rivière, « Mémoire sur la Camargue », dans les Annales de l'agriculture française, 2e série, tome 34, Paris : chez Madame Huzard, avril 1826, p. 81)