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Quant aux turbidites, elles présentent un granuloclassement latéral, la partie frontale du courant déposant des particules de plus en plus fines le long du parcours mais, par contre, le granuloclassement vertical est bon, dû à ce que la tête, la partie moyenne et la queue du courant déposent successivement, en un point, des grains grossiers, moyens et fins (fig. 170). […] C’est ce qu’on appelle le classement vertical progressif, ou granuloclassement, ou encore graded bedding (fig. 170).— (Jean Aubouin, Robert Brousse, Jean Pierre Lehman, Précis de géologie : 1er cycle et licence, volume 1, Dunod, 1967, page 268)
