manman

Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire.

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

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Nom commun [modifier le wikicode]

Singulier Pluriel
manman manmans
\Prononciation ?\

manman \mɑ̃.mɑ̃\ féminin

  1. (Familier) (Famille) Dans le langage parlé, variante déformée pour maman.
    • Quand on est une manman on devrait pas avoir de tatouage, ça devrait être que pour les hommes. — (Stephen Kelman, Le pigeon anglais, 2011)
    • Si tu parles d’une manman bœuf ou d’une manman cochon en France, les gens vont rire. — (Maurice Barbotin, Marie-Galante en Guadeloupe, 2001)
    • Pauvre Manman d'ados... — (site manmandados.blogspot.com)
    • Ainsi va la vie : on a une manman et puis un jour, elle meurt. — (site www.imaniye.net)

Synonymes[modifier le wikicode]

Traductions[modifier le wikicode]

Anagrammes[modifier le wikicode]

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Créole guadeloupéen[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du français maman.

Nom commun [modifier le wikicode]

manman \Prononciation ?\ (pour un homme, on peut dire : papa, apa)

  1. (Famille) Mère.
    • si yo ba pitit manjé manman yo, yo ka manjé-i
      si yo ban manman manjé pitit, i ka mò.
      — (Dany Bébel-Gisler, Léonora ou l’Histoire enfouie de la Guadeloupe, 1985)
      si on donne aux enfants leur maman à manger, ils la mangent
      si on donne à une mère ses enfants à manger, elle meurt.

Prononciation[modifier le wikicode]

Créole haïtien[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du français maman.

Nom commun [modifier le wikicode]

manman \mã.mã\ féminin (pour un homme, on dit : papa)

  1. (Famille) Mère.

Prononciation[modifier le wikicode]

Créole martiniquais[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du français maman.

Nom commun [modifier le wikicode]

manman \Prononciation ?\

  1. (Famille) Mère.
    • Mésiézédam, té ni an manman ki té ni an fi yo té ka kriyé « Adélaide » épi té né an gason yo té ka kriyé « Jasmin ». Sédila Adélaide anni fiyansé épi Jasmin pou yo té mayé. — (Ina Césaire, « La montagne des trois cristals d’or » dans Contes de nuits et de jours aux Antilles (bilingue), 1990)
      Messieurs et dames, une mère avait une fille, Adélaide, qui était fiancée à un jeune homme nommé Jasmin.