polygale
Français[modifier le wikicode]
Étymologie[modifier le wikicode]
- (1562) Du latin polygala (« au lait abondant ») emprunté au grec, parce que cette plante passait pour favoriser la production du lait chez les vaches.
Nom commun [modifier le wikicode]
Singulier | Pluriel |
---|---|
polygale | polygales |
\pɔ.li.ɡal\ |
polygale \pɔ.li.ɡal\ masculin
- (Botanique) Plante annuelle ou vivace, dicotylédone, herbacée, parfois ligneuse selon les espèces, et dont les fleurs ont trois pétales inégaux soudés entre eux par leur base.
- Comme il fait beau, comme rien ne presse, (...) nous revenons à pied, flânant le long de la route entre les haies hautes où fleurissent les polygalas, bleus et rose vineux. — (Colette, Cl. école,1900, page 240)
Le polygale du calcaire (Polygala calcarea) est une petite plante herbacée vivace de la famille des Polygalacées.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Variantes[modifier le wikicode]
Synonymes[modifier le wikicode]
Dérivés[modifier le wikicode]
Traductions[modifier le wikicode]
- Conventions internationales : Polygala (wikispecies)
- Allemand : Kreuzblume (de) féminin
- Anglais : milkwort (en), polygala (en), snakeroot (en)
- Arménien : կաթնախոտ (hy) kat’naxot
- Azéri : südotu (az)
- Bachkir : сысҡанҡойроҡ (*)
- Bulgare : телчарка (bg) telčarka
- Catalan : polígala (ca)
- Croate : krestušac (hr)
- Danois : mælkeurt (da)
- Estonien : vahulill (et)
- Finnois : linnunruoho (fi)
- Haut-sorabe : křižnička (hsb)
- Hongrois : pacsirtafű (hu)
- Italien : poligala (it)
- Lituanien : putokšlė (lt)
- Norvégien : blåfjær (no)
- Polonais : krzyżownica (pl)
- Roumain : amăreală (ro), șopârliță (ro)
- Russe : истод (ru) istod
- Samogitien : potuokšlė (*)
- Suédois : jungfrulin (sv)
- Tchèque : vítod (cs)
- Ukrainien : китятки (uk) kytjatky
Voir aussi[modifier le wikicode]
- Polygala sur l’encyclopédie Wikipédia
Références[modifier le wikicode]
- « polygala ou polygale », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- « polygale », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage