(Habillement) Manteau lourd et chaud fait en laine du pays.
Mets ta canadienne, il fait très froid dehors.
22 février 1941 – Résultats du grec : Wagner est recalé à un point. Pauvre Juif qui n’aura pas l’occasion de se représenter. J’étais tout contre lui, devant la liste, et j’entendais battre son cœur à travers sa canadienne.— (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 147)
Le casier aux vêtements, très profond, était calculé pour contenir une quinzaine de portemanteaux, ce qui était un peu juste, l'hiver, quand les huit commis et le chef de brigade devaient loger, outre leurs vestes, des manteaux et des canadiennes— (Boileau-Narcejac, Terminus, 1980, éd. Folio, page 14)
Type de tente à ouverture triangulaire, en forme de toit.
Elle acquit une de ces gigantesques voitures américaines carrossées en bois, qu’on appelait des canadiennes.— (Jean-Jacques Brochier, Odette Genonceau, J'ai Lu, page 103)
Racemixte (lait surtout) de taurins (vaches) du Canada (Québec), à robe sombre unie, de noir à roux. Note : Peut être utilisé avec une majuscule (Canadienne) pour mettre en avant le fait qu’on donne un caractère générique au mot.
On dit que la capitale canadienne s'africanise voire se somalianise ou djiboutianise, vite une description/explication sociologique ?— (site www.slateafrique.com, 22 septembre 2015)