À l’intérieur, quatre colonnes corinthiennes et les colonnettes cannelées du chancel supportent le jubé de bois, orné de panneaux en bas-relief polychrome.— (Alain Stéphan, Guide du Finistère, Éditions Jean-Paul Gisserot, 2004, page 25)
Au-dessus du chancel, face à la nef s’élève une grande crucifixion. Les croix du Christ et des larrons se dressent sur des monticules de terre truffés de crânes et d’ossements.— (Guy Leclerc, Les Enclos de Dieu, Éditions Jean-Paul Gisserot, 1996, page 55)
Un chancel séparait désormais les deux groupes. L’accès au chœur n’était autorisé qu’au moment de la communion, y compris pour les femmes.— (Jean Heuclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi : En Gaule du Nord du Ve au IXe siècle, Presses Universitaires du Septentrion, 1998, page 114)
Le chancel est destiné à isoler le chœur ou sanctuaire de la nef. Le chœur est réservé aux clercs, la nef aux fidèles. Ces derniers ne peuvent pénétrer dans le chœur et doivent suivre les offices à travers la clôture.— (Mémoires de la Société d’émulation des Côtes-du-Nord, volume 113–117, 1985, page 63)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage